•                 Bonjour l'équipage de Eklablog,

    Le Belem en escale à Nantes son port d'attache après un périple .. sur d'autres cieux

    Si, vous passez par là pendant vos vacances ou WE

    Bonne visite sinon visitez le site de ce magnifique voilier

    Le Belem

    Né dans les chantiers Dubigeon en 1896, le Belem a été restauré puis classé monument historique en 1984. C'est aujourd'hui un bateau école, propriété de la fondation Belem, qui offre à chacun l'opportunité de découvrir la navigation. C'est aussi un musée itinérant, ouvert à la visite lors de ses escales. On y découvre les espaces de travail de l'équipage, la timonerie ou encore les salons en acajou de Cuba, construits lorsque le navire battait pavillon britannique. Un véritable témoignage vivant du monde de la mer depuis 119 ans.
    Lors des escales nantaises du Belem, le public peut le visiter. 

    Lien ci-dessus >> Nantes tourisme >>>cliquez sur le lien en bleu yesoh là

     

    http://bit.ly/1jyelC8

     

    A bientôt, suis en mode : garde chat d'une amie pendant 6 jours pas loin de chez moi mais j'y dors donc moins sur la blogosphère....

    Salut et bonne route pêche etc .. rompez les rangs ^^oops

    Le Belem

     


    21 commentaires
  • Mayflower      ou "Fleur de mai" histoire ...d'un navire .. mythique !!

                        

    Le Mayflower - vaisseau 

    Le Mayflower - vaisseau

    Le Mayflower - vaisseauGifs  http://petitemimine.centerblog.net

                                           

     

    Dans la logique, j'aurais fait tout l'historique et les photos de ce navire mythique avec mes recherches, mais actuellement, je ne peux comme vous le savez, rester trop longtemps sur l'ordi .. du coup, j'ai fait un copier/coller de la page Wikipédia ..

    Si, vous avez la patience de lire, c'est bien, en fait, chacun fait comme il le veut !

    ** Je voulais ajouter que si : vous allez cliquer (colonne de gauche) sur Voiliers et gréements ! vous trouverez mes articles sur beaucoup de navigateurs et histoires maritimes, sinon, si oublie de ma part, voir dans Demat .. !

    J'ajoute pour les personnes intéressées !

    Dans Monuments : Bagne de Brest histoire fait par moi

    Dans : Le Flot des souvenirs : Souviens-toi Barbara .. histoire de Brest pendant la guerre et surtout juste après à découvrir .. pour les nouveaux et nouvelles zaminautes !

    Je vous laisse avec le Mayflower @+++++

                          

    Le Mayflower - vaisseau

     

    Le Mayflower - vaisseau

    Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
     
    Page d'aide sur l'homonymie
    Le Mayflower dans le port de Plymouth peint par William Halsall (1882).

    Le Mayflower (ou « Fleur de mai ») est un vaisseau marchand de 90 pieds (27,4 mètres) et 180 tonneaux du XVIIe siècle.

    En 1620, il transportait 102 immigrants anglais[1] entre Plymouth, en Angleterre, et la colonie de Plymouth, dans le Massachusetts. Parmi eux étaient présents les Pilgrim fathers ou « Pères pèlerins »

     

    Le Mayflower - vaisseau

    Sommaire

    1 Le voyage

     

    Le voyage

    Cliquez pour voir en plus grand les photos !
    Reconstitution du village des colons dans le musée en plein air de Plimoth Plantation.
    Représentation du Mayflower sur une pièce de 0,5 dollar, 1920.

    Bien que l'Amérique du Nord fût déjà connue depuis près d'un siècle par les Espagnols, les Anglais ne commencèrent à la coloniser qu'en 1584 avec l'envoi de navires vers la fameuse colonie de Roanoke, la « colonie perdue ». Cette première tentative d'installation durable ayant échoué, les Anglais renvoyèrent des navires en 1606 en Virginie, alors récemment achetée à l'Espagne où ils fondèrent le fort de Jamestown (qui fut plus tard détruit par les Amérindiens, la famine, le paludisme et les rudes hivers).

    « Le chef de leur congrégation, John Robinson, approuva la suggestion de fonder une colonie outre-mer. [William] Bradford en était partisan dès le début. [...] Ils armèrent un navire, recrutèrent quelques hommes, et c'est ainsi que William et sa femme quittèrent Leyde (Hollande) en 1620 à bord du Mayflower[2]. »William Bradford

    Le bateau quitta Londres en juillet 1620, accompagné d'un autre navire, le Speedwell, qui rebroussa chemin suite à une avarie à la coque.

    Après deux escales, à Southampton le 5 août 1620 puis à Dartmouth le 12 août, le Mayflower quitta Plymouth le 16 septembre 1620[3] (6 septembre selon le calendrier julien en usage chez les pèlerins).

    À la suite d'une halte pour se ravitailler à Terre-Neuve auprès de pêcheurs locaux, une tempête menaça le bon déroulement de l'expédition. Le mauvais temps obligea le vaisseau à aborder les rivages de l'Amérique au cap Cod (sur le site de la ville de Provincetown dans le Massachusetts), le 11 novembre 1620, et non sur les bords du fleuve Hudson, but initial du voyage.

    Parmi les occupants du bateau se trouvaient trente-cinq dissidents anglais, des Pères pèlerins, très pieux, fuyant les persécutions de Jacques Ier et à la recherche d'un lieu pour pratiquer librement leur religion ; ainsi que 67 « étrangers ». La plupart des passagers venaient de milieux modestes (petits fermiers, artisans…) et adhéraient aux principes puritains.

    Ces Européens furent les premiers colons à s'établir durablement en Nouvelle-Angleterre, où ils décidèrent de fonder la ville de Plymouth.

    Un pacte contenant un certain nombre de lois, et régissant les principes de la future colonie (plus connu sous le nom de Mayflower Compact), fut signé à bord du navire par les passagers.

    Les pèlerins du Mayflower, les « Pilgrim Fathers », sont souvent considérés comme les pères fondateurs des futurs États-Unis d'Amérique.

    La toute première femme européenne à débarquer fut Mary Chilton.

    La dernière survivante des passagers du Mayflower était Mary Allerton, décédée à l'âge de 83 ans le 28 novembre 1699.

    Les passagers et leur descendance

    Liste des passagers

    Une naissance fut enregistrée à bord durant la traversée : celle d'un petit garçon, au nom d'Oceanus Hopkins, et le valet d'Edward Fuller, William Butten, mourut pendant le voyage. Une naissance fut également enregistrée alors que le Mayflower n'avait pas encore accosté et que les pèlerins cherchaient un endroit où s'établir : celle de Peregrine White.

    Baie du cap Cod.
    • John Alden (ancêtre des présidents John Adams et John Quincy Adams)
    • Isaac Allerton, son épouse Mary (Norris) Allerton, leur fils Bartholomew Allerton, leur fille Mary Allerton, leur fils Remember Allerton
    • John Allerton (aucune relation avec les Allerton mentionnés ci-dessus)
    • John Billington et son épouse Eleanor Billington
    • Frances Billington (aucune relation avec les Billington mentionnés ci-dessus) et son fils John Billington (ancêtre du président James Abram Garfield)
    • William Bradford et son épouse Dorothy May Bradford
    • William Brewster et son épouse Mary Brewster (ancêtres du président Zachary Taylor)
    • Love Brewster et son frère Wrestling Brewster
    • Richard Britteridge
    • Peter Brow
    • William Butten (mort pendant la traversée)
    • Robert Cartier
    • John Carver et son épouse Katherine (White) Carver
    • James Chilton et son épouse Susanna Chilton
    • Mary Chilton (aucune relation avec les Chilton mentionnés ci-dessus)
    • Richard Clarke
    • Francis Cooke et son fils John Cooke
    • Humility Cooper
    • John Crackston et son fils John Crackston
    • Edward Doty
    • Francis Eaton, son épouse Sarah Eaton et leur fils Samuel Eaton
    • M. (prénom inconnu) Ely (marin)
    • Thomas English
    • Moses Fletcher
    • Edward Fuller, son épouse Ann Fuller et leur fils Samuel Fuller
    • Samuel Fuller (médecin ; aucune relation avec les Fuller mentionnés ci-dessus)
    • Richard Gardiner
    • John Goodman
    • William Holbeck
    • John Hooke
    • Steven Hopkins, son épouse Elizabeth (Fisher) Hopkins, leur fils Giles Hopkins, leur fille Constance Hopkins, leur fille Damaris Hopkins, leur fils Oceanus Hopkins (né pendant la traversée)
    • John Howland
    • John Langmore
    • William Latham
    • Edward Leister
    • Edmund Margeson
    • Christopher Martin
    • Mary (Prower) Martin
    • Desire Minter
    Plaque commémorative, dans l'église St. James, à Shipton (Shropshire), en mémoire du baptême des enfants More (photo de Phil Revell).
    • Elinor More
    • Jasper More
    • Richard More
    • Mary More
    • William Mullins, son épouse Alice Mullins, leur fils Joseph Mullins, leur fille Priscilla Mullins
    • Degory Priest
    • Solomon Prower
    • John Rigdale
    • Alice Rigdale
    • Thomas Rogers et son fils Joseph Rogers
    • Henry Sampson
    • George Soule
    • Myles Standish, son épouse Rose Standish
    • Elias Story
    • Edward Thompson
    • Edward Tilley, son épouse Ann (Cooper) Tilley
    • John Tilley, son épouse Joan (Hurst) Tilley, leur fille Elizabeth Tilley
    • Thomas Tinker, l'épouse de Thomas Tinker (nom inconnu), le fils de Thomas Tinker (nom inconnu)
    • William Trevore
    • John Turner (2 fils de John Turner, inconnus)
    • Richard Warren (ancêtre du président Ulysses S. Grant et de l'écrivaine Laura Ingalls-Wilder)
    • William White, son épouse Susana White, leur fils Peregrine White, leur fils Resolved White
    • Roger Wilder
    • Thomas Williams
    • Edward Winslow, son épouse Elizabeth (Barker) Winslow, Gilbert Winslow (frère d'Edward Winslow)

    Présidents des États-Unis descendant des passagers du Mayflower

    Personnalités descendant des passagers du Mayflower

    Liste évidemment non exhaustive, des milliers voire des dizaines de milliers d'Américains possédant un ou plusieurs passagers du Mayflower parmi leurs ancêtres.

    La notoriété du Mayflower

    Réplique du Mayflower             la poupe du Mayflower       

    Une réplique appelée le Mayflower II a été construite à l'identique de l'original, à quelques détails près[4].

    Le Mayflower dans la littérature

    Le roman Constance (titre original : Constance, A Story Of Early Plymouth. ISBN 2 211 061 15 X) de Patricia Clapp retrace, sous la forme d'un journal intime tenu par la jeune Constance Hopkins, l'installation des immigrants du Mayflower qui ont fondé Plymouth dans le Massachusetts.

    Le roman Les Vampires de Manhattan de Melissa De La Cruz qui raconte l'histoire du Mayflower mais de façon un peu plus fictive.

    La bande dessinée XIII le représente dans son tome 20 : Le Jour du « Mayflower ». Jason Mac Lane, alias XIII se retrouve aux prises avec une fondation conspirationiste héritière des principes puritains des Pères fondateurs des États-Unis. Les auteurs Yves Sente et Iouri Jigounov permettent au lecteur de comprendre l'influence de la religion dans la société américaine d'aujourd'hui.

    Le Mayflower dans la cristallerie

    L’image du Mayflower a été utilisée dans la production des Cristalleries du Val-Saint-Lambert, Seraing en Belgique. Un imposant vase au voilier, en cristal clair, fut gravé entre 1949 et 1954 par Louis Barthélemy d'après un modèle de Charles Graffart. Hauteur 23 cm, longueur 30 cm, largeur 25 cm. Signatures gravées à la pointe au culot : Val Saint-Lambert, C. Graffart, L. Barthélemy.

    Notes et references

    1. Bernard Vincent (dir.), Histoire des États-Unis, Paris, Champs Flammarion, 1997, (ISBN 2080813765), p. 14
    2. Les séparatistes durent affronter la méfiance et même l'hostilité des citoyens hollandais. Le chef de leur congrégation, John Robinson, approuva la suggestion de fonder une colonie outre-mer. Bradford en était partisan dès le début. Si les séparatistes désiraient demeurer sujets anglais (même s'ils résidaient aux Pays-Bas), ils souhaitaient se tenir le plus loin possible de l’Église d'Angleterre et du gouvernement pour jouir de la paix. Ils armèrent un navire, recrutèrent quelques hommes, et c'est ainsi que William et sa femme quittèrent Leyde en 1620 à bord du Mayflower.
    3. Du « miracle » en économie : leçons au Collège de France, par Alain Peyrefitte [archive]
    4. Mayflower II [archive], sur Mackoo

    14 commentaires
  • La Recouvrance - Goélette Levons l'ancre avec La Recouvrance goèlette brestoise !!

    sur cette photo elle navire vers L'île de Batz (de zaza) et Roscoff .. pour le festival Terre et Mer (dont Monica ) a parlé sur son blog

    La Recouvrance symbole de la ville de Brest, a fait escale aussi au port de Bloscon à Roscoff, mais aussi vers les Abers .. Finistère nord ! voilà

    Suivez son sillage et son histoire ..;

    et une vidéo sur une chanson de Fanny de Lanninon

      

    La Recouvrance - Goélette

    La Recouvrance, goélette symbole et ambassadrice de la ville de Brest qui en est aussi la propriétaire, porte le nom du plus célèbre quartier de la ville, celui où les femmes de marins priaient Notre Dame

    Bien sûr, le quartier de Recouvrance est connu de tous les marins et autres : pour d'autres .. plaisirs nocturnes .. de bar en bar etc .. mais c'était un chouette quartier fréquenté par les marins du port militaire de Brest et des marins du monde entier, qui faisaient "escale" à Brest soit les navires militaires mais aussi de commerce !

    j'ai eu donc la chance de naître là ! à Brest pas à Recouvrance ! lol

    c'est mes origines et mon fief .. mon port d'attache !  

    Suis partie, revenue et repartie voir ailleurs, Bordeaux, Colmar, La Loire-Atlantique et là en Vendée !! (raisons familiales) enfin c'est pas loin de Nantes que j'aime aussi, il y a l'Océan Atlantique pour horizon aussi ...

    la photo est de la page Facebook du site

    La Recouvrance comme presque toutes !

    d'autres photos sont du net et infos de wikipédia + es sites sur FB ..

    La Recouvrance - Goélette

    Chantier du Guip - quai Malbert -port de commerce de Brest -Finistère - France

    La Recouvrance - Goélette rade de brest

    La Recouvrance - rade de Brest ! photo prise de la pointe des Espagnols en face de Brest sur la presqu'île de Crozon .. hé hé ...matelot !!  oh hé matelot

    La Recouvrance - Goélette 3 photos

    Photos de Fréderic Le Mouillour -photographe

    sur facebook à voir et revoir absolument ! je met le lien

    La Recouvrance - Goélette sous voiles rade

    Photos de la page Facebook de La Recouvrance >>>

    La Recouvrance - Goélette Pornic

    La Recouvrance à Pornic

    La Recouvrance - Goélette  la poupe

    La proue de la goélette

    La Recouvrance - Goélette

    Chantier du Guip Brest : Quai du Commandant Malbert

    29200 Brest

    photo du site "La Recouvrance" sur facebook consulter la page pour plus d'infos

    J'ai vu jour après jour, du début juqu'à sa mise à l'eau de cette golélette au chantier du Guip ! j'habitais Brest

    La Recouvrance - Goélette

    Le logo de La Recouvrance Brest

    ci-dessous ! une chanson sur RECOUVRANCE

    FANNY DE LANINON  et des images du Brest d'Avant et d'après la seconde guerre mondiale ! détruite comme vous le savez et refaite plus ou moins bien, dans l'urgence d'après guerre, tous les brestois étant en exode dont ma famille !!! Souviens-toi Barbara (chanson de Prévert interprété notamment par Montand ou Reggiani) voir youtube c'est une chanson qui parle de Brest -ville martyre lors de la 2 guerre mondiale .. j'en avais parlé voir dans "rechercher" ..

    Bon, là c'est joyeux .. chant de fête et de marin.. moi, j'aime et vous I like ...  

     

     

    À Brest, l’atelier (hangar de plus de 1000 m2) se trouve sur le quai Malbert. Il est divisé en plusieurs zones (charpente navale, ébénisterie de pont et agencement intérieur, technique embarquée) et peut accueillir des yachts et bateaux du patrimoine jusqu’à 100 tonnes. 16 personnes y travaillent.

    À Lorient, un atelier a été monté pour la restauration du thonier Biche.

    Sur l’Île aux Moines, l’équipe de 8 personnes travaille au bord de l’anse du Guip.

    Il est spécialisé dans la construction et la restauration de bateaux de tradition et de petites unités de yachting.

    Historique

    • 1976 : Francis Duwez pose les premiers bordés du chantier du Guip, sur les rives du golfe du Morbihan.
    • 1981 : Yann Mauffret et Alex Abarrategui rapidement rejoints par Paul Bonnel reprennent le flambeau. Le chantier reconstruit le premier bateau du patrimoine, le Nicolas Benoît, un sinagot[4] du golfe du Morbihan.
    • Brest 92 : Pour la première édition du rassemblement des bateaux traditionnels, la ville confie au Guip la construction de la Recouvrance, goélette de 41 m datant du début du XIXe siècle.
    • 1992 : Jugé sur dix ans d’activité, le chantier du Guip reçoit le Trophée du Bois « Charpente marine » ainsi que le premier prix de construction du concours « Bateaux des côtes de France ».

    Les bateaux du patrimoine construits ou restaurés

    Des charpentiers intervenant sur la Fée de l'Aulne.
    Le Saint Guénolé au hangar.

    Les sinagots[4], la série des Guépards, deux misainiers bigoudens, le langoustier Corbeau des mers, ou le cotre écossais Seagull ; Belle Angèle ou le Grand Norven, sardinier de Piriac.

    Brest 96 : Lors des fêtes maritimes, la gabare Notre Dame de Rumengol, classée Monument Historique, est lancée devant le public après un an de restauration. Viendront ensuite les barques lémaniques La Savoie et La Neptune, le coquiller Bergère de Domrémy[5], le sloop coquillier Saint Guénolé, la Fée de l'Aulne, la Marie-Fernand.

     

    La Complainte de Jean Quemeneur

    Line

    Mélodie -

    Line

    Henri Ansquer - vers 1900

    Il s'appelait Jean Quemeneur,
    Il était le fils d'une demi-sœur
    De la fameuse Madame Larreur,
    La grande Hortense,
    Celle qui tenait un caboulot
    «Aux gars de Dinard et de Saint-Malo»
    En fac' la caserne du dépôt
    A Recouvrance!

    2. Sa mère était une Kermarec,
    Vous savez bien, d'Lambezellec,
    Une grosse puant du bec
    Qui n'eut pas de chance
    Avec Yann, son premier mari,
    Bon garçon, mais faible d'esprit
    Qui dans son grenier se pendit
    A Recouvrance!

    3. C'était parents aux Kervella
    Vous avez connu ces gens-là?
    Qui faisaient tant de tralalas
    Et d'manigances
    Portant voilettes et grands chapeaux
    Qu'on aurait dit, ou peu s'en faut,
    Qu'ça fréquentait des amiraux
    A Recouvrance!

    4. Son père était pompier au port,
    Travaillant peu mais buvant fort,
    Et jamais content de son sort,
    Comme bien on pense.
    Avec sa pipe et son fanal
    Il s'balladait dans l'arsenal
    Du « Corps de Garde » au « Fer à Cheval »
    A Recouvrance.

    5. C'est par une nuit qu'il vit le jour,
    Au treize de la rue de la Tour;
    Il faisait noir comme en un four
    Et, pas de chance,
    Avec ça un vrai temps de canard:
    D'la pluie, du vent et du brouillard,
    Ce qui mit la sage femme en retard
    A Recouvrance.

    6. Mais le malheur vint, qui l'eût cru?
    Son père, un soir qu'il était bu,
    Tomba sur sa tête et mourut
    Sans connaissance
    Et sa mère eut ce mot touchant:
    « Gast ! Me voilà veuve à présent:
    J'aurai plus d'père pour mon enfant »
    A Recouvrance!

    7. Puis sa mère mourut à son tour
    Toujours au treize d'la rue de la Tour,
    Mais sa tante Yvonne Marchadour
    Qu'avait de l'aisance
    Et du cœur autant que de l'argent
    Jura le jour de l'enterr'ment
    De veiller sur le petit Jean
    A Recouvrance!

    8. Comme tous les petits enfants
    Il eut la cocotte à quatre ans
    Et puis la toque pendant quequ' temps
    Bref, son enfance
    Fut celle de tous les moutards
    Que, légitimes ou bien bâtards,
    On voit courir sur les remparts,
    A Recouvrance!

    9. Puis il grandit. Quand il fut grand,
    Travailleur et intelligent,
    Il voulut faire un vétéran
    Ici commence
    L'histoire de ses amours avec
    Marie-Madeleine Poullaouec
    La nièc' de Jean-François Cusec
    A Recouvrance!

    10. Elle était jolie comme un cœur
    Il l'épousa , fou de bonheur,
    Dans notre église Saint-Sauveur
    Puis, quelle bombance!
    Aussi, quelle gaieté, quel entrain,
    Jusqu'à trois heures lendemain matin
    Dans les salons du « Petit Jardin »
    A Recouvrance!

    11. Mais à cinq ou six jours de là,
    Cette drôlesse le trompa
    Avec un sigond-maîtr' calfat
    Plein de prestance,
    Un sergent-major, un fourrier,
    Un commis du port, un pompier,
    L'agent Paugam et tout l'quartier
    A Recouvrance!

    12. Puis, v'là-t-y pas qu'à Kervallon,
    Femme sans cœur et sans raison
    Elle fit d'un quartier-maîtr' clairon
    La connaissance;
    Ils s'en allèrent bras d'ssous, bras d'ssus
    Au pardon d'la chapelle-Jésus;
    Depuis, on n'les a plus revus
    A Recouvrance!

    13. Le pauv'mari, pour oublier,
    Se mit alors à s'arsouiller
    Dans tous les bistrots du quartier
    A « l'Espérance »,
    Au débit d'la mère Pouliquen
    Et même au « Retour du Tonkin »:
    On voyait qu'lui soir et matin
    A Recouvrance!

    14. Bref, un soir qu'il ventait très fort,
    Roulant de bâbord sur tribord
    Il finit dans le fond du port
    Son existence
    Pour avoir voulu, l'pauv'garçon
    Aidé d'son ami Kerouanton
    Larguer l'amarre du Petit Pont
    A Recouvrance!


    Une histoire drôlatique qui est pratiquement devenue l'hymne national des brestois!

    This humorous story about family, birth, life and death of a poor boy in Brest port, evokes the numerous pubs, the drunkards, easy women

     Bon, toutes les photos  viennent  du net, de wikipédia et de facebook, j'ai cité les noms plus haut et la provenance .. des infos sur La Recouvrance


    14 commentaires
  •                                                                    ALAIN COLAS

                                            NAVIGATEUR

    sa biographie  

     

    ALAIN COLAS .. Découvre la mer, et en 1966 . Rencontre Eric Tabarly qui lui offrira son premier embarquement en tant que cuisinier de bord sur Pen Duick III . Il rejoint alors Eric Tabarly en 1968, pour la transatlantique en solitaire sur un multicoque géant le Pen Duick IV . Fort de son expérience, il rachète le Pen Duick IV qu’il rebaptise Manureva, il gagne la transat anglaise en 1972, puis il enchaîne un tour du monde en solitaire .

    Alain Cola,  disparu en mer lors de la "Route u Rhum 1978",

    Il envoya son dernier message-radio le 16 novembre 1978.

    Il avait 35 ans.

     

     

     

                  

               

              ALAIN COLAS .. Découvre la mer, et en 1966 . Rencontre Eric Tabarly qui lui offrira son premier embarquement en tant que cuisinier de bord sur Pen Duick III . Il rejoint alors Eric Tabarly en 1968, pour la transatlantique en solitaire sur un multicoque géant le Pen Duick IV . Fort de son expérience, il rachète le Pen Duick IV qu’il rebaptise Manureva, il gagne la transat anglaise en 1972, puis il enchaîne un tour du monde en solitaire .

                                                 Alain Colas - son parcours  

                                                               

                                                                             ALAIN COLAS

     

     

    Alain Colas naît à Clamecy dans la Nièvre, où son père, Roger Colas (1907-1993), dirige la faïencerie de la ville. Dès son enfance, il veut « réaliser ses rêves ». Écolier à Clamecy, il étudie en sixième au lycée Michelet de Vanves, puis au lycée Jacques Amyot d'Auxerre de la cinquième à la première. Il passe la classe de philosophie au lycée Paul Bert d'Auxerre, obtient le baccalauréat en 1961, et fréquente un an la faculté de lettres de Dijon. Il étudie ensuite l'anglais en Sorbonne. En juillet 1963, à 19 ans, il crée le club de canoë-kayak de Clamecy.

    Chargé de cours en Australie :

    En 1965, son père lui communique une annonce parue dans Le Monde, par laquelle l'université de Sydney recherche un lecturer, c'est-à-dire un chargé de cours, et non un lecteur comme Alain le croit. Il postule aussitôt et prépare son départ. Malgré une réponse négative, il s'embarque en janvier 1966 sur un cargo pour l'Australie. À la faculté des lettres de Sydney, ce jeune homme dynamique et persuasif est recruté ; il devient chargé de cours, à vingt-deux ans, au St John’s College, où il enseigne la littérature française.

    En Australie, il découvre la voile et la course au large dans la baie de Sydney.

    Équipier d'Éric Tabarly :

    En 1967, Alain Colas rencontre Éric Tabarly, qui dispute la course Sydney-Hobart. Ce dernier lui propose d’embarquer à son bord, sur Pen Duick III, pour un périple jusqu’en Nouvelle-Calédonie.

    Pour Alain, l’appel du large est plus fort qu’un avenir universitaire tout tracé. En mai 1968, il rejoint à Lorient Éric Tabarly qui prépare, pour la transatlantique en solitaire de 1968, un multicoque expérimental géant : Pen Duick IV, conçu par l'architecte français André Allègre. Alain fait toute la saison de course 1968-1969 avec Tabarly. Il apprend le métier de marin de course au large et devient journaliste de ses aventures maritimes. En 1970, il rachète à Tabarly le trimaran Pen Duick IV, avec l'aide de sa famille. Pour payer les premières échéances, il raconte ses voyages dans la presse française et anglo-américaine et vend des photographies.

    Afin de s'entraîner et de mieux connaître son bateau, il participe en franc-tireur à la course Sydney-Hobart. Puis il regagne Tahiti pour écrire des reportages sur la Polynésie et préparer Pen Duick IV à son retour en métropole. Il rencontre au début de 1971 une tahitienne, Teura Krause, qui devient sa compagne, et avec laquelle il aura trois enfants.

    Les victoires :

    Le 17 juin 1972, sur Pen Duick IV, il prend le départ à Plymouth, en Angleterre, de la quatrième Transat anglaise, une course transatlantique en solitaire. Le 8 juillet 1972, il arrive vainqueur à Newport aux États-Unis, pulvérisant le record de l’épreuve en 20 jours, 13 heures et 15 minutes. La France se découvre un héros sympathique au parcours original.

    Son prochain objectif est de réaliser le premier tour du monde en solitaire en multicoque avec Pen Duick IV rebaptisé Manureva, l’oiseau du voyage en tahitien. À bord de ce bateau, légèrement modifié pour affronter les mers difficiles de l'hémisphère sud, Alain Colas part de Saint-Malo le 8 septembre 1973. Après une escale à Sydney, il franchit le cap Horn le 3 février 1974. Arrivé à Saint-Malo le 28 mars 1974, il bat de 32 jours le record du tour du monde en solitaire détenu par Sir Francis Chichester, en monocoque[1]. Il est le premier marin à réussir ce pari.

    Ce périple a été accompli en parallèle à la première édition de la Whitbread, une course autour du monde en équipage en monocoques. Il lui a été reproché de vouloir ainsi bénéficier de sa couverture médiatique, alors que son bateau n'entrait pas dans la même catégorie et disposait d'un potentiel de vitesse supérieur. Par ailleurs, cette course s'est avérée désastreuse pour Tabarly et son Pen Duick VI, contraint à l'abandon. Une polémique discutable avait lieu en même temps à propos du lest en uranium appauvri de ce bateau. Tout cela contribua à écorner l'image de Tabarly et à détourner l'intérêt du public au profit de Colas ; il faut sans doute voir dans ces circonstances la naissance d'une rancune tenace de Tabarly envers son ancien équipier, qui mit fin à l'amitié qui les liait.

    Le quatre-mâts Club Méditerranée :

    Le monocoque quatre-mâts de course en solitaire avant-gardiste : Club Méditerranée de 1976.

    En 1975, Alain Colas conçoit et met en œuvre la construction d’un quatre-mâts, voilier de 72 mètres de long, à la pointe de la technologie, pour la Transat anglaise en solitaire de juin 1976. C’est le gigantesque Club Méditerranée.

    Le 19 mai 1975, dans le port de La Trinité-sur-Mer, Alain Colas est victime d'un accident : sa cheville droite est sectionnée par le cordage d'une ancre de Manureva. Il subit vingt-deux opérations qui lui permettent de conserver son pied, et continue à superviser la réalisation du Club Méditerranée depuis son lit de l'hôpital de Nantes. Le 15 février 1976, le navire est lancé à l'arsenal du Mourillon à Toulon. Une équipe de volontaires réalise ensuite les équipements très sophistiqués du navire, qui fait sa première sortie en mer le 21 mars 1976.

    Le 5 juin 1976, Alain Colas est au départ, sur le Club Méditerranée, de la cinquième Transat anglaise en solitaire, à Plymouth. Les jours suivants, cinq tempêtes se succèdent dans l'Atlantique nord, coulant plusieurs bateaux. Sur Club Méditerranée, elles provoquent la rupture des drisses, câbles tenant les voiles. Tabarly étant alors faussement localisé en tête, la course paraît jouée. Alain Colas décide d'une escale technique à Terre-Neuve, qui dure trente-six heures. Le 29 juin, il arrive second à Newport, 7 heures et 28 minutes après Éric Tabarly. Mais le comité de course le pénalise de 58 heures, le rétrogradant à la cinquième place, parce qu'il a été aidé par des équipiers à hisser ses voiles lors de son départ de Terre-Neuve[2]. Les scellés de son moteur n'étaient plus en place, mais rien ne lui fut reproché sur ce point : Alain Colas avait dû s'en servir pour entrer à Terre-Neuve, comme la loi l'y obligeait ; lors de son départ, les douaniers refusèrent de plomber à nouveau le moteur[3].

    Après la course, il représente la France sur Club Méditerranée, lors du défilé des navires organisé sur l'Hudson, pour le bicentenaire des États-Unis. Puis il regagne la France et organise, en août et en septembre 1976, l'opération « Bienvenue à bord ». Accostant son voilier géant dans les grands ports de la Manche et de l'Atlantique, il accueille gratuitement les visiteurs le matin ; l'après-midi, il propose des sorties en mer avec participation aux frais, suivies de projections et de conférences. Ces manifestations, qui rencontrent le succès, sont l'occasion de vendre les livres d'Alain Colas et les objets ornés de son logo. Au printemps et en été 1977, « Bienvenue à bord » se déroule dans les ports français de la Méditerranée.

    Disparition

    Manureva
    Le trimaran Manureva quelques jours avant le départ

    En 1978, Alain Colas participe à sa dernière course : le 5 novembre il prend le départ de la première Route du Rhum à bord de Manureva. Le 16 novembre 1978, alors qu'il a passé les Açores, il envoie son dernier message radio, dans lequel il signale qu'il fait bonne route. Il navigue alors parmi les premiers mais, dans la tempête qui se déchaîne peu après, Manureva disparaît corps et biens. Alain Colas avait trente-cinq ans.

    Contrairement aux multicoques actuels qui sont insubmersibles et flottent donc entre deux eaux en cas d'accident sérieux (structure nid d'abeille, composites), Manureva était construit en AG4 (aluminium), plus lourd que l'eau, ce qui ne permit pas de retrouver le moindre élément du navire.

    Alain Colas a su faire évoluer sa carrière grâce à son intelligence et son caractère entreprenant. Il s'est beaucoup appuyé sur les médias. Il a obtenu l'aide de mécènes pour financer ses courses et son quatre-mâts. Il a conçu le Club Méditerranée comme une vitrine de la technologie : le bateau utilisait les énergies éolienne, hydraulique et solaire, possédait un système de positionnement par satellite, un ordinateur, un fax.

    Dans les années 1980, Bernard Tapie racheta Club Méditerranée à l'abandon, le fit rénover en le transformant et le rebaptisa Phocéa.

    Hommages :

    La disparition d'Alain Colas inspira Serge Gainsbourg qui écrivit en 1979 les paroles de la chanson Manureva, composée et chantée par Alain Chamfort.

    Le lycée de la communication à Nevers a reçu le nom d'Alain Colas. À Clamecy, une statue du navigateur, en bronze, a été inaugurée en 2006. Plusieurs villes de France ont donné le nom d'Alain Colas à une rue, un quai ou un bâtiment.

                      ************************************************************************************

      Source : wikipédia pour le récit de son parcours de vie !

    images : "Culture bretonne & Celtique" sur Fb (photos)

      

     Océano Nox.  

           

        Oh ! combien de marins, combien de capitaines     Qui sont partis joyeux pour des courses lointaines,     Dans ce morne horizon se sont évanouis ?     Combien ont disparu, dure et triste fortune ?     Dans une mer sans fond, par une nuit sans lune,     Sous l'aveugle océan à jamais enfoui ?  

        Combien de patrons morts avec leurs équipages ?     L'ouragan de leur vie a pris toutes les pages     Et d'un souffle il a tout dispersé sur les flots !     Nul ne saura leur fin dans l'abîme plongée,     Chaque vague en passant d'un butin s'est chargée ;     L'une a saisi l'esquif, l'autre les matelots !     Nul ne sait votre sort, pauvres têtes perdues !     Vous roulez à travers les sombres étendues,     Heurtant de vos fronts morts des écueils inconnus     Oh ! que de vieux parents qui n'avaient plus qu'un rêve,     Sont morts en attendant tous les jours sur la grève     Ceux qui ne sont pas revenus !  

        On demande " Où sont-ils ? Sont-ils rois dans quelque île ?     Nous ont-ils délaissés pour un bord plus fertile ?     Puis, votre souvenir même est enseveli.     Le corps se perd dans l'eau, le nom dans la mémoire.     Le temps qui sur toute ombre en verse une plus noire,     Sur le sombre océan jette le sombre oubli.  

        On s'entretient de vous parfois dans les veillées,     Maint joyeux cercle, assis sur les ancres rouillées,     Mêle encore quelque temps vos noms d'ombre couverts,     Aux rires, aux refrains, aux récits d'aventures,     Aux baisers qu'on dérobe à vos belles futures,     Tandis que vous dormez dans les goémons verts !  

        Bientôt des yeux de tous votre ombre est disparue.     L'un n'a-t-il pas sa barque et l'autre sa charrue ?     Seules, durant ces nuits où l'orage est vainqueur,     Vos veuves aux fronts blancs, lasses de vous attendre,     Parlent encore de vous en remuant la cendre,     De leur foyer et de leur coeur !     Et quand la tombe enfin a fermé leur paupière,     Rien ne sait plus vos noms, pas même une humble pierre,     Dans l'étroit cimetière où l'écho nous répond,     Pas même un saule vert qui s'effeuille à l'automne,     Pas même la chanson naïve et monotone,  

           

        Que chante un mendiant à l'angle d'un vieux pont !     Où sont-ils, les marins sombrés dans les nuits noires ?     O flots ! que vous savez de lugubres histoires !     Flots profonds redoutés des mères à genoux !     Vous vous les racontez en montant les marées,     Et c'est ce qui vous fait ces voix désespérées,     Que vous avez le soir, quand vous venez vers nous.  

           

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      Samedi 10 novembre à 13h02 coup de canon sur la ligne de départ du >> Vendée Globe. Le départ de la course en solitaire sans escale et sans assistance , une vingtaine de bateaux  sortiront du chenal avant de Port Olono, la sortie des bateaux se fera à intervalles de 4 mn entre 2 bateaux ! L'événement n'a lieu que tout les 4 ans !

    à suivre sur les médias, et sur le site de "Vendée Globe"

    la seule femme participant à la course : Samantha Davies !

    >>> www.vendeeglobe.org pour suivre la Course au quotidien et sur tous les médias ainsi qu'une régate virtuelle sur Internet :

    "Regatta Virtual" course virtuelle où certains sont inscrits de nos amis bloggeurs jouent ! il y a beaucoup de participants de partout - voir site sur internet

    >> bon courage aux participants ! sacrés marins et pas d'eau douce

     


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